REF: 13813
Trois lettres du connétable de Montmorency
Maréchal (1567) et connétable de France (1595). Hostile à la Ligue, il s'allie aux protestants ; il est l'un des premiers à reconnaître le roi Henri IV.
Trois lettres du connétable de Montmorency, qui était également gouverneur du Languedoc. Il intervient pour différents procès et pour placer un protégé.
- 5 mars 1593. "En faveur du sieur du Roux, je désire que Pierre Pouzols de Baignolz quy est de mes subjetz soyt pourveu d'ung office de procureur en la court de parlement sy tant est qu'il en soit capable ainsy qu'on m'a assuré [...]".
- 27 mars 1593. "Elizette Alègre de Montpellier a ung procès à Nismes, duquel sa partie a appelé par devant vous, afin de la tirer tousjours en longueur et lui oster le moyen de le plus poursuivre, qui me faict vous prier par ce mot voulloir prendre la peine de voir ses papiers et lui faire bonne et briesve justice selon vostre équité accoutumée. En quoy je recevray beaucoup de plaisir pour le désir que j'ay que lad. Alègre soit en repos et délivrée de cette affaire [...]"
- 30 avril 1593. "Le cappitaine Feynes qui est un très bon et affectionné serviteur du Roy et le mien particullier, m'a faict entendre qu'il a un procès en vostre cour qui luy importe de beaucoup [...]. Il recour à vous pour lui fere justice [...]".
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Trois lettres du connétable de Montmorency, qui était également gouverneur du Languedoc. Il intervient pour différents procès et pour placer un protégé.
- 5 mars 1593. “En faveur du sieur du Roux, je désire que Pierre Pouzols de Baignolz quy est de mes subjetz soyt pourveu d’ung office de procureur en la court de parlement sy tant est qu’il en soit capable ainsy qu’on m’a assuré […]”.
- 27 mars 1593. “Elizette Alègre de Montpellier a ung procès à Nismes, duquel sa partie a appelé par devant vous, afin de la tirer tousjours en longueur et lui oster le moyen de le plus poursuivre, qui me faict vous prier par ce mot voulloir prendre la peine de voir ses papiers et lui faire bonne et briesve justice selon vostre équité accoutumée. En quoy je recevray beaucoup de plaisir pour le désir que j’ay que lad. Alègre soit en repos et délivrée de cette affaire […]”
- 30 avril 1593. “Le cappitaine Feynes qui est un très bon et affectionné serviteur du Roy et le mien particullier, m’a faict entendre qu’il a un procès en vostre cour qui luy importe de beaucoup […]. Il recour à vous pour lui fere justice […]”.
