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REF: 9395

Rare poème en partie inédit avec lettre de la félibresse Reine Garde.

Reine Garde (Nîmes, 1810/1887)
Couturière et félibresse, précurseur du félibrige.
Type de document : manuscrit autographe signé et lettre autographe signée
Nb documents - pages - format : 2 - 5 - In-8
Lieu : Aix
Date : 13/09/1850
Destinataire : Mme Clémence Fitch
Etat : pliures

Poème en partie inédit de Reine Garde, intitulé "A Madame Clémence Fitch...", signé "Reine Garde couturière" publié dans ses Essais poétiques, en 1851. Adressé directement à la dédicataire, il comporte deux strophes inédites (10 vers), et des variantes. "Toi dont la vue inspire amour et confiance / Jeune femme poète? il fut doux à mon coeur / Cet instant qui me vit faire ta connaissance [Ce jour où le hasard me mit en ta présence, dans la version publiée]...". La deuxième et la troisième strophes, très tendres, sont entièrement inédites : "Ciel! le bras du destin contre moi se désarme / Me dis-je en te voyant passer sur mon chemin! / Chacun de tes regards avait un nouveau charme / Je sentis couler une larme / Lorsque ta main pressa ma main [...]". Il est accompagné d'une lettre d'envoi à Clémence Fitch. "Eh! non, je ne me suis pas trompée, votre coeur est tel que je le jugeais au premier abord, il est bon et sensible, et surtout il n'oublie pas. Monsieur le sous-préfet m'a donné de vos nouvelles dans une petite visite qu'il m'a faite. Je viens de la lui rendre il n'y a que quelques minutes. Je lui ai fait lire les quelques strophes de vers qui vous sont adressées, et que je vous prie d'accepter du même coeur qu'elles vous sont offertes, j'ai fait cela pour vous prouver que je ne vous oublie pas et que votre souvenir me sera toujours cher [...]".

Le prix initial était : 750,00€.Le prix actuel est : 375,00€.
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Description

Poème en partie inédit de Reine Garde, intitulé “A Madame Clémence Fitch…”, signé “Reine Garde couturière” publié dans ses Essais poétiques, en 1851. Adressé directement à la dédicataire, il comporte deux strophes inédites (10 vers), et des variantes. “Toi dont la vue inspire amour et confiance / Jeune femme poète? il fut doux à mon coeur / Cet instant qui me vit faire ta connaissance [Ce jour où le hasard me mit en ta présence, dans la version publiée]…”. La deuxième et la troisième strophes, très tendres, sont entièrement inédites : “Ciel! le bras du destin contre moi se désarme / Me dis-je en te voyant passer sur mon chemin! / Chacun de tes regards avait un nouveau charme / Je sentis couler une larme / Lorsque ta main pressa ma main […]”. Il est accompagné d’une lettre d’envoi à Clémence Fitch. “Eh! non, je ne me suis pas trompée, votre coeur est tel que je le jugeais au premier abord, il est bon et sensible, et surtout il n’oublie pas. Monsieur le sous-préfet m’a donné de vos nouvelles dans une petite visite qu’il m’a faite. Je viens de la lui rendre il n’y a que quelques minutes. Je lui ai fait lire les quelques strophes de vers qui vous sont adressées, et que je vous prie d’accepter du même coeur qu’elles vous sont offertes, j’ai fait cela pour vous prouver que je ne vous oublie pas et que votre souvenir me sera toujours cher […]”.

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