Rare lettre du journaliste et homme de théâtre égyptien Yaqub Sannu, dit Abou Naddara
Amusante lettre du journaliste égyptien Yaqub Sannu, dit Abou Naddara (, pionnier du théâtre égyptien.
"Au nom d'Allah [...] le Cheick Abou Naddara, le proscrit de la Vallée du Nil, l'ami dévoué de la France et l'hôte reconnaissant de ses enfants [...] présente le parfum de son salut d'Orient à son excellent confrère parisien Sidi Henri Flamans [rédacteur de "La Paix", pseudonyme du journaliste Philipp Aebischer (1848-1933)]". Naddara remercie Flamans pour un article paru le matin même, bénit son correspondant et la France, son pays d'adoption, demande une "cinquantaine, 40aine ou 30aine d'exemplaires" de cet article, afin de les envoyer "à tous les grands journaux et les patriotes de l'Orient", etc.
Une phrase en arabe en tête.
Description
Amusante lettre du journaliste égyptien Yaqub Sannu, dit Abou Naddara (, pionnier du théâtre égyptien.
“Au nom d’Allah […] le Cheick Abou Naddara, le proscrit de la Vallée du Nil, l’ami dévoué de la France et l’hôte reconnaissant de ses enfants […] présente le parfum de son salut d’Orient à son excellent confrère parisien Sidi Henri Flamans [rédacteur de “La Paix”, pseudonyme du journaliste Philipp Aebischer (1848-1933)]”. Naddara remercie Flamans pour un article paru le matin même, bénit son correspondant et la France, son pays d’adoption, demande une “cinquantaine, 40aine ou 30aine d’exemplaires” de cet article, afin de les envoyer “à tous les grands journaux et les patriotes de l’Orient”, etc.
Une phrase en arabe en tête.
