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REF: 12412

Manuscrit de Pierre Gaxotte consacré à Théophile Gautier, intitulé “Le Forçat du feuilleton”

Pierre Gaxotte (Revigny-sur-Ornain, 1895/1982)
Historien et journaliste français. Il est élu à l'Académie française en 1953.
Type de document : manuscrit autographe signé
Nb documents - pages - format : 1 - 5 pp. 1/2 - In-4
Lieu : S.l.
Date : [1956]
Destinataire : Sans
Etat : Bon. Un petit trou ayant emporté un mot.

Brouillon de l'article de Pierre Gaxotte, consacré à Théophile Gautier, intitulé "Le Forçat du feuilleton". Ratures, corrections et ajouts.

Beau et long texte de réhabilitation de Gautier, oublié et mal aimé selon Gaxotte.

"Au poète impeccable, au parfait magicien ès lettres françaises, à mon très cher et très vénéré maître et ami Théophile Gautier, avec les sentiments de la plus profonde humilité, je dédie ces fleurs maladives" : la dédicace de Baudelaire n'a pas sauvé Gautier d'un injuste oubli. On ne le lit plus guère. On ne parle plus de lui [...]. A vrai dire Gautier se place mal. Il est né en 1810. Il est mort en 1872. En retard sur Stendhal, Balzac et Hugo. En avance sur les parnassiens [...]". L'auteur loue le grand talent de journaliste de Gautier, la qualité de ses feuilletons, la liberté de son ton, cite de nombreux passages d'articles, etc.

Cet article paraîtra dans le Figaro littéraire du 18 août 1956, sous le titre de "Théophile, le forçat du feuilleton".

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Description

Brouillon de l’article de Pierre Gaxotte, consacré à Théophile Gautier, intitulé “Le Forçat du feuilleton”. Ratures, corrections et ajouts.

Beau et long texte de réhabilitation de Gautier, oublié et mal aimé selon Gaxotte.

“Au poète impeccable, au parfait magicien ès lettres françaises, à mon très cher et très vénéré maître et ami Théophile Gautier, avec les sentiments de la plus profonde humilité, je dédie ces fleurs maladives” : la dédicace de Baudelaire n’a pas sauvé Gautier d’un injuste oubli. On ne le lit plus guère. On ne parle plus de lui […]. A vrai dire Gautier se place mal. Il est né en 1810. Il est mort en 1872. En retard sur Stendhal, Balzac et Hugo. En avance sur les parnassiens […]”. L’auteur loue le grand talent de journaliste de Gautier, la qualité de ses feuilletons, la liberté de son ton, cite de nombreux passages d’articles, etc.

Cet article paraîtra dans le Figaro littéraire du 18 août 1956, sous le titre de “Théophile, le forçat du feuilleton”.

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