Le lecteur de Marie-Antoinette, l’abbé de Vermond, fait un geste.
Après les catastrophes naturelles qui ont ravagé les récoltes de 1788, l'abbé de Vermond, lecteur de Marie-Antoinette, accorde quelques dédommagements. A la suite d'un "Etat des fermiers dépendants de la terre de Cherlieux [Haute-Saône] qui ont souffert de la grêle en 1788", Vermond écrit : "J'autorise M. Belin à faire à Echilley fermier de Saponcourt une demie année du loyer de sa ferme. J'autorise de même à faire remise de huit cent livres au Sr Huguin fermier de Tartecourt [...]". Le même jour, Vermond écrit un autre document sur l'assencement d'un moulin qui échoit à une veuve.
Description
Après les catastrophes naturelles qui ont ravagé les récoltes de 1788, l’abbé de Vermond, lecteur de Marie-Antoinette, accorde quelques dédommagements. A la suite d’un “Etat des fermiers dépendants de la terre de Cherlieux [Haute-Saône] qui ont souffert de la grêle en 1788”, Vermond écrit : “J’autorise M. Belin à faire à Echilley fermier de Saponcourt une demie année du loyer de sa ferme. J’autorise de même à faire remise de huit cent livres au Sr Huguin fermier de Tartecourt […]”. Le même jour, Vermond écrit un autre document sur l’assencement d’un moulin qui échoit à une veuve.
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