-10%
REF: 12499

Laure d’Abrantès vend deux précieux tableaux au Louvre, de Guido Reni et du Guerchin

Laure Junot Abrantès (duchesse d') (Montpellier, 1784/1838)
Mémorialiste, amie de Joséphine, épouse du général Junot, ses Mémoires sur la Révolution, l'Empire et la Restauration ont un succès considérable.
Type de document : lettre autographe signée
Nb documents - pages - format : 1 - 1 p. 1/2 - Petit in-4
Lieu : Paris
Date : 22 janvier 1816
Destinataire : Un comte
Etat : Trois petites taches marginales. Halo brun autour de l'encre dans cette même marge.

La duchesse d'Abrantès, endettée comme toujours, désire céder quelques précieux tableaux au Louvre, mais seuls deux ont été retenus par Vivant Denon. Il s'agit de La Pentecôte, par Guido Reni (dit Le Guide) et de Saint-Félix, du Guerchin. "[...] On m'apprend qu'il n'y a que ces deux tableaux qui conviennent à la Gallerie du Roi, et que M. Denon qui a été consulté en a fixé le prix à cinquante mille francs quoique je dusse espérer d'après l'opinion des artistes qui les ont vus, d'en obtenir un prix beaucoup plus considérable. Je consents [sic] puisque c'est pour le muséum de Sa Majesté de les donner pour cinquante mille francs [...]". Elle demande à son correspondant de faire payer cette somme à son beau frère M. de Geouffre.

Encre brune sur papier vergé filigrané FI.
Le prix initial était : 500,00€.Le prix actuel est : 450,00€.
25 personnes regardent ce produit en ce moment
En stock
Date de livraison estimée:
13 - 20 Déc, 2025
La Confiance Badge
Pour garantir la sécurité & de paiement sécurisé

Description

La duchesse d’Abrantès, endettée comme toujours, désire céder quelques précieux tableaux au Louvre, mais seuls deux ont été retenus par Vivant Denon. Il s’agit de La Pentecôte, par Guido Reni (dit Le Guide) et de Saint-Félix, du Guerchin. “[…] On m’apprend qu’il n’y a que ces deux tableaux qui conviennent à la Gallerie du Roi, et que M. Denon qui a été consulté en a fixé le prix à cinquante mille francs quoique je dusse espérer d’après l’opinion des artistes qui les ont vus, d’en obtenir un prix beaucoup plus considérable. Je consents [sic] puisque c’est pour le muséum de Sa Majesté de les donner pour cinquante mille francs […]”. Elle demande à son correspondant de faire payer cette somme à son beau frère M. de Geouffre.

Produits connexes

Select the fields to be shown. Others will be hidden. Drag and drop to rearrange the order.
  • Image
  • SKU
  • Rating
  • Price
  • Stock
  • Description
  • Weight
  • Dimensions
  • Additional information
  • Add to cart
Click outside to hide the comparison bar
Compare