“Fraternité”, l’hymne aux travailleurs d’Armand Silvestre.
Manuscrit du poème "Fraternité" en 44 alexandrins, par le poète parnassien Armand Silvestre. Dans la veine de Zola, hymne aux travailleurs : «A leur rude labeur inclinés dès l'Aurôre / Et prolongeant leurs tâches avec les soirs d'été / L'atelier s'emplissait de leur chanson sonore / Vers l'immortel Espoir et la Fraternité [...]». C'est aussi un hommage à Toulouse, la ville adoptive d'Armand Silvestre où il s'est éteint. Le poème se termine ainsi : «Gais enfants du soleil que le monde jalouse / Fils d'une terre où tout nous parle de Bonté / Secourez à pleins coeurs, vous, les fils de Toulouse / Les vieux et les souffrants de la bonne Cité».
Description
Manuscrit du poème “Fraternité” en 44 alexandrins, par le poète parnassien Armand Silvestre. Dans la veine de Zola, hymne aux travailleurs : «A leur rude labeur inclinés dès l’Aurôre / Et prolongeant leurs tâches avec les soirs d’été / L’atelier s’emplissait de leur chanson sonore / Vers l’immortel Espoir et la Fraternité […]». C’est aussi un hommage à Toulouse, la ville adoptive d’Armand Silvestre où il s’est éteint. Le poème se termine ainsi : «Gais enfants du soleil que le monde jalouse / Fils d’une terre où tout nous parle de Bonté / Secourez à pleins coeurs, vous, les fils de Toulouse / Les vieux et les souffrants de la bonne Cité».
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