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Deux belles lettres de Sophie Gay à la Princesse de Salm-Dyck sur la mort de Sophie Gail

Sophie Gay (Paris, 1776/1852)
Romancière, elle tient à Aix-la-Chapelle un Salon célèbre réunissant autour d'elle les plus grands écrivains, peintres et musiciens de son temps.
Type de document : lettres autographes signées
Nb documents - pages - format : 2 - 7 pp. - In-4
Lieu : Villiers sur Orge
Date : 6 août 1819 et 25 avril 1822
Destinataire : La Princesse de Salm-Dyck
Etat : Bon. Petite mouillures.

Ensemble de deux longues lettres de Sophie Gay, adressées à la Princesse de Salm-Dyck.

Au sujet de la mort de Sophie Gail : "[...] le chagrin que j'éprouve. Je n'avais pas besoin de perdre une amie, dont l'affection et le talent faisaient les délices de notre intimité pour savoir apprécier les charmes de la vôtre, mais plus on perd plus on tient à ce qui reste. Depuis quelques tems la mort m'a enlevé tant d'amis distinguées [...]". Elle évoque avec émotion le talent de feue son amie, partie à cause d'une fluxion de poitrine, sans cela, "nous jouirions encore de son admirable talent". "Celle [peine] que je viens de subir en voyant expirer cette pauvre Mme Gail a cruellement altéré ma santé. Mon imagination frappée de l'affreux tableau de cette mort inopinée ne rêve plus que malheur [...]". Elle évoque sa cabane et le palais champêtre de la Princesse, la politique, envoie un ouvrage, etc.

 

 

Encre brune sur feuillets doubles.
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Description

Ensemble de deux longues lettres de Sophie Gay, adressées à la Princesse de Salm-Dyck.

Au sujet de la mort de Sophie Gail : “[…] le chagrin que j’éprouve. Je n’avais pas besoin de perdre une amie, dont l’affection et le talent faisaient les délices de notre intimité pour savoir apprécier les charmes de la vôtre, mais plus on perd plus on tient à ce qui reste. Depuis quelques tems la mort m’a enlevé tant d’amis distinguées […]”. Elle évoque avec émotion le talent de feue son amie, partie à cause d’une fluxion de poitrine, sans cela, “nous jouirions encore de son admirable talent”. “Celle [peine] que je viens de subir en voyant expirer cette pauvre Mme Gail a cruellement altéré ma santé. Mon imagination frappée de l’affreux tableau de cette mort inopinée ne rêve plus que malheur […]”. Elle évoque sa cabane et le palais champêtre de la Princesse, la politique, envoie un ouvrage, etc.

 

 

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