REF: 7044

Des fonds pour l’église corse de Belgodère.

Joseph Hippolyte Guibert (Aix-en-Provence, 1802/1886)
Evêque de Viviers (1842), archevêque de Tours (1857) puis de Paris (1871), il est créé cardinal en 1873.
Type de document : lettres autographes signées
Nb documents - pages - format : 2 - 3 - In-4 et in-8
Lieu : Ajaccio
Date : 1839-1841
Destinataire : le secrétaire des commandements de la reine Marie-Amélie.
Etat : une lettre avec déchirure (sans manque)

Deux lettres du futur archevêque de Paris, Joseph Hippolyte Guibert, alors vicaire général et supérieur du séminaire d'Ajaccio. La première est relative à l'envoi de livres. La seconde concerne l'église de Belgodère en Haute-Corse. «J'ai reçu dans le mois de novembre dernier la lettre par laquelle vous me donniez avis que la Reine avait daigné accorder la somme de cent francs à l'église de Belgodère sur les besoins de laquelle j'avais appelé l'intérêt de Sa Majesté». Il a aussitôt transmis cette somme au curé de Belgodère. «J'avais pensé que le conseil de fabrique me chargerait de faire parvenir à la Reine sa lettre de remerciement. Il parait qu'il l'a adressée directement à Sa Majesté. Cele ne peut me dispenser du devoir d'offrir à mon tour à la Reine mes actions de grâces pour la bonté qu'elle a eu d'accueillir favorablement une demande que j'avais pris la liberté de recommandé à sa piété [...]».

Cachet du secrétariat des commandements de la reine.
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Description

Deux lettres du futur archevêque de Paris, Joseph Hippolyte Guibert, alors vicaire général et supérieur du séminaire d’Ajaccio. La première est relative à l’envoi de livres. La seconde concerne l’église de Belgodère en Haute-Corse. «J’ai reçu dans le mois de novembre dernier la lettre par laquelle vous me donniez avis que la Reine avait daigné accorder la somme de cent francs à l’église de Belgodère sur les besoins de laquelle j’avais appelé l’intérêt de Sa Majesté». Il a aussitôt transmis cette somme au curé de Belgodère. «J’avais pensé que le conseil de fabrique me chargerait de faire parvenir à la Reine sa lettre de remerciement. Il parait qu’il l’a adressée directement à Sa Majesté. Cele ne peut me dispenser du devoir d’offrir à mon tour à la Reine mes actions de grâces pour la bonté qu’elle a eu d’accueillir favorablement une demande que j’avais pris la liberté de recommandé à sa piété […]».

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