Correspondance amoureuse d’André Bernheim à Simone Simon
Jolie correspondance amoureuse d'André Bernheim à Simone Simon, composée de trois lettres, un billet et un long poème intitulé "La Nuit - Simone Rêve".
"Jeudi soir" : "Chérie. C'est trop long deux mois. Ces quelques semaines passées ont été si merveilleusement inattendues, si gaies, si charmantes et si simples et il m'était devenu si naturel de te voir tout le temps [...] l'idée de ces deux mois me parait insupportable. Il est près de deux heures du matin. Je viens de te quitter [...]".
"Mardi soir - minuit" : "Tu es à la fois instructive et savante. Tu es tour à tour gentille et indifférente. Tendre et résolue. Exaspérante. Amicale. Absurde. Lointaine. Et si parfaitement si tendrement charmante aussi [...]".
Mercredi "[...] C'est l'abandon. Je n'ai plus votre présence. Je n'ai plus votre belle humeur. Je n'ai plus votre tendresse [...] je n'ai plus rien [...]".
Description
Jolie correspondance amoureuse d’André Bernheim à Simone Simon, composée de trois lettres, un billet et un long poème intitulé “La Nuit – Simone Rêve”.
“Jeudi soir” : “Chérie. C’est trop long deux mois. Ces quelques semaines passées ont été si merveilleusement inattendues, si gaies, si charmantes et si simples et il m’était devenu si naturel de te voir tout le temps […] l’idée de ces deux mois me parait insupportable. Il est près de deux heures du matin. Je viens de te quitter […]”.
“Mardi soir – minuit” : “Tu es à la fois instructive et savante. Tu es tour à tour gentille et indifférente. Tendre et résolue. Exaspérante. Amicale. Absurde. Lointaine. Et si parfaitement si tendrement charmante aussi […]”.
Mercredi “[…] C’est l’abandon. Je n’ai plus votre présence. Je n’ai plus votre belle humeur. Je n’ai plus votre tendresse […] je n’ai plus rien […]”.
