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Chaleureuse lettre du comte de Tressan, académicien
Le comte de Tressan, alors à Commercy au service du roi Stanislas, félicite chaleureusement son correspondant, un parent, pour le mariage de son fils et y ajoute une belle déclaration d'affection et d'admiration : "[...] votre nom et votre famille s'accroissent sans cesse, et vous voyez renouveler pour vous les bénédictions et les bienfaits dont l'éternel comble les patriarches. Puissiez vous donner longtemps l'exemple du meilleur père, de l'ami le plus fidelle [sic], du plus zélé citoyen, du philosophe le plus utile, et du magistrat le plus respectable, heureux Monsieur avec qui comme moy participent de plus près à ce qui vous touche et joignent les sentimens d'un parent tendre à l'attachement et au respect [...]".
Description
Le comte de Tressan, alors à Commercy au service du roi Stanislas, félicite chaleureusement son correspondant, un parent, pour le mariage de son fils et y ajoute une belle déclaration d’affection et d’admiration : “[…] votre nom et votre famille s’accroissent sans cesse, et vous voyez renouveler pour vous les bénédictions et les bienfaits dont l’éternel comble les patriarches. Puissiez vous donner longtemps l’exemple du meilleur père, de l’ami le plus fidelle [sic], du plus zélé citoyen, du philosophe le plus utile, et du magistrat le plus respectable, heureux Monsieur avec qui comme moy participent de plus près à ce qui vous touche et joignent les sentimens d’un parent tendre à l’attachement et au respect […]”.
