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REF: 12081

Belle correspondance d’Armand de Pontmartin à Paul de Saint-Victor

Armand Pontmartin (de) (Avignon, 1811/1890)
Ecrivain, journaliste et critique littéraire avignonnais.
Type de document : lettres autographes signées
Nb documents - pages - format : 6 - 10 pp. - In-8
Lieu : Château de Pradines Grambois
Date : 31 octobre 1871 et s.d.
Destinataire : Paul de Saint-Victor
Etat : Rares et pâles rousseurs

Belle correspondance d'Armand de Pontmartin, adressées à Paul de Saint-Victor. 4 enveloppes conservées.

Il remercie Saint-Victor de l’envoi de son livre Barbares et Bandits (Paris, Michel Lévy, 1871). A sa réception, il se trouvait « aux prises avec une laborieuse et malheureuse candidature, mal accueillie par des gens fort insensibles au mal que nous ont fait les barbares, et très disposés à fraterniser avec les bandits".

Pontmartin évoque la guerre de 1870, l'insurrection de l'Assemblées Nationale et la Commune, la « grosse voix du suffrage universel » ; le compositeur Richard Yrvid (1829-1903) l'a chargé de prier Saint-Victor d'assister aux Amants de Vérone "qui me paraissent bien hardis de braver le voisinage de Gounod" ; il mentionne leur cher ami commun, Joseph Autran, les ouvrages qu'il lui offre, etc.

Longues et très belles déclarations d'amitié et d'admiration : Pontmartin est infiniment reconnaissant à son confrère de son aide, de sa bienveillance et de son indulgence.

Encre brune sur doubles feuillets, un en-tête gaufré "Château de Pradine, Vaucluse".
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Description

Belle correspondance d’Armand de Pontmartin, adressées à Paul de Saint-Victor. 4 enveloppes conservées.

Il remercie Saint-Victor de l’envoi de son livre Barbares et Bandits (Paris, Michel Lévy, 1871). A sa réception, il se trouvait « aux prises avec une laborieuse et malheureuse candidature, mal accueillie par des gens fort insensibles au mal que nous ont fait les barbares, et très disposés à fraterniser avec les bandits”.

Pontmartin évoque la guerre de 1870, l’insurrection de l’Assemblées Nationale et la Commune, la « grosse voix du suffrage universel » ; le compositeur Richard Yrvid (1829-1903) l’a chargé de prier Saint-Victor d’assister aux Amants de Vérone “qui me paraissent bien hardis de braver le voisinage de Gounod” ; il mentionne leur cher ami commun, Joseph Autran, les ouvrages qu’il lui offre, etc.

Longues et très belles déclarations d’amitié et d’admiration : Pontmartin est infiniment reconnaissant à son confrère de son aide, de sa bienveillance et de son indulgence.

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