REF: 13164
2 manuscrits de l’architecte Perronet sur la construction du Pont de l’Archevêché à Lyon
Ingénieur et architecte français, fondateur et premier directeur de l’École des ponts et chaussées.
Ensemble de deux manuscrits signés de Jean-Rodolphe Perronet (1708-1794), ingénieur et architecte, premier directeur de l'École des Ponts et Chaussées. Ils concernent la construction du Pont de l'Archevêché à Lyon.
- 3 avril 1787. Rapport favorable sur un projet de pont de pierre sur pilotis à Lyon par Coulaud du Paillet, recommandé par Lallié "qui pense qu'il n'y aurait aucun inconvénient de lui en laisser faire l'expérience à ses frais au Pont de l'Archevêché de Lyon où la Saône a jusqu'à 22 pieds de profondeur, et dans le cas où il réussirait, ce serait à la caisse municipale de cette ville à le rembourser de ses frais [...]".
- 5 mai 1789. "Rapport du Sr Perronet sur le dernier mémoire de M. Coulaud du Paillet [...] concernant la fondation des ponts de maçonnerie sans batardeaux, épuisements ni caissons », dans lequel il se montre plus sceptique sur la réussite de cette construction. "On doit au surplus laisser à la prudence de M. les prévost des Marchands et des officiers municipaux de la ville de Lyon qui sont chargés de la construction du nouveau Pont de l'Archevêché la liberté d'adopter cette méthode pour l'une des piles de ce Pont, s'ils jugent à propos d'en courir les risques […]".
Encre brune sur feuillets doubles de papier vergé filigrané.
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Ensemble de deux manuscrits signés de Jean-Rodolphe Perronet (1708-1794), ingénieur et architecte, premier directeur de l’École des Ponts et Chaussées. Ils concernent la construction du Pont de l’Archevêché à Lyon.
- 3 avril 1787. Rapport favorable sur un projet de pont de pierre sur pilotis à Lyon par Coulaud du Paillet, recommandé par Lallié “qui pense qu’il n’y aurait aucun inconvénient de lui en laisser faire l’expérience à ses frais au Pont de l’Archevêché de Lyon où la Saône a jusqu’à 22 pieds de profondeur, et dans le cas où il réussirait, ce serait à la caisse municipale de cette ville à le rembourser de ses frais […]”.
- 5 mai 1789. “Rapport du Sr Perronet sur le dernier mémoire de M. Coulaud du Paillet […] concernant la fondation des ponts de maçonnerie sans batardeaux, épuisements ni caissons », dans lequel il se montre plus sceptique sur la réussite de cette construction. “On doit au surplus laisser à la prudence de M. les prévost des Marchands et des officiers municipaux de la ville de Lyon qui sont chargés de la construction du nouveau Pont de l’Archevêché la liberté d’adopter cette méthode pour l’une des piles de ce Pont, s’ils jugent à propos d’en courir les risques […]”.
